« Strangers’ Boulevard » une exposition photos de Paul-Adrien Menez

Dans le cadre du cours d’expression dispensé par Mme Toquet, sur le thème « L’ingénieur-honnête homme », 3 élèves-ingénieur en 3ème année à l’ENIB : Paul-Adrien Menez, Paul Grangeray et Maxime Feron ont mené en commun le projet intitulé : Strangers’ Boulevard.

exposition-stranger's-boulevardPaul-Adrien Menez, passionné de photographie organise une exposition photo autour de sa série de portraits d’inconnus rencontrés dans la rue ou au porte à porte... L’exposition se tiendra du 18 novembre au 18 décembre 2010 au Tom Caffé (rue Augustin Morvan à Brest).

Vernissage : 18 novembre de 18h30 à 20h au Tom Caffé à Brest

Paul-Adrien Menez est âgé de 21 ans, étudiant à l’ENIB et en double cursus à l’UBO avec une L3 de « Physique, Santé, Technologie » option Physique. Il a commencé la photographie à l’âge de 19 ans, d’abord sans préférence sur le sujet, puis il a développé sa démarche autour du portrait, et plus particulièrement sur le portrait de rue. « Je prends d’abord le temps de m’immerger dans « la foule » pour ensuite révéler l’identité des gens et des lieux. Je crée le contact avec un inconnu et cet événement va le sortir du quotidien, tout en suscitant chez lui des sentiments de surprise, de joie, de fierté… Puis je fige l’instant, comme un rappel à cette rencontre qui n’aurait pas eu lieu si l’appareil photo n’était pas là, et qui aboutit souvent à de riches échanges. Cet instrument n’est autre que le mobile dont j’use pour m’ouvrir vers l’extérieur et comprendre plus en profondeur le quotidien et l’intimité des individus », explique l’artiste en herbe.

Le choix des modèles n’est pas lié à leur beauté plastiques, mais pour leur beauté artistique, explique Paul-Adrien Menez, « je capte ainsi la sensibilité, la solitude, mais aussi la joie, la gaieté ou encore la mélancolie des gens, dans un univers qui laisse à chacun une marge d’interprétation des émotions inspirées... » C’est grâce à l’informatique et au processus numérique que le futur énibien dénature chacune de ses photos qui lui permet de bâtir l’image finale.     « Autant de subjectivité qui font que je ne vous montre rien d’autre que Ma réalité. Le mieux, c’est lorsque vous y croyez… »

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